Mis en marche par un email à tous les Komossas du monde du fermier Kjell Engström du village finlandais de Komossa, le photographe nocturne commence un voyage curieux à travers les cascades de lumières qui sont les nuits d´été finlandaises.
Exposition
Neue Sächsische Galerie Chemnitz
Vernissage dans le Sauna avec la Participation de Finnischen Kulturattaché et les Director de Musée
Ausstellungseröffnung des Fotografen Jens Komossa (Mitte) in der Sauna des Stadtbades.
« Komossa in Finnland »
Foto: Ulf Dahl/Freie Presse
SZ Online
Le photograph berlinois Jens Komossa ne laisse ouvrir son obturateur qu’après la tombée de la nuit. Quatre ou cinq heures peuvent s’écouler avant qu’il ait la photo desirée.
Il a passé beaucoup de nuits de cette façon, soit dans la lumière verte des néons dans des petits villages français, soit sur les rues de Berlin. Depuis quelques temps, Komossa a transformé la nuit du village finlandais de « Komossa » en jour. Très originel : Komossa s’est trouvé, grâce à l’internet et le fermier Kjell Engström, tiré vers un petit village Osterbottien duquel il porte le nom.
Peu après avoir fait cette connaissance, Jens Komossa a visité ce village solitaire, peulé de cent Finnois. Dans ses chasses-à-photo nocturnes dans le paysage ouvert et naturel de Finlande, il a vécu une expérience de laquelle il n’avait jamais rêvé : « La nuit, le soleil disparaissait, mais la lumière y restait toujours. »
Sa découverte de la photographie nocturne dans une nuit claire comme le jour a semblé nécessiter un lieu d’exposition aussi remarquable. Dès demain, les invités des saunas unisexes des bains publics de Chemnitz peuvent se détendre en regardant les œuvres actuels de Komossa. Le vernissage est aujourd’hui (17 :30), dans le sauna.
« Komossa en Finlande » est une exposition en deux parties de la Nouvelle Galérie Saxone; une deuxième sélection de photographie à grand format et à longues temps d’exposition est à voir à la musée « Tietz » elle-même. Pendant ce temps, Jens Komossa à appris le sens du mot Finlandais « Komossa » : la vache dans l’éclaircie.
Ch. Hamann-Poenisch